Questionner les notions de symptôme, de maladie et de guérison
L’hygiénisme est une approche de la santé encore méconnue, mais qui suscite un intérêt croissant. Fondée sur l’observation du vivant et le respect des lois naturelles, elle propose une autre manière de comprendre les déséquilibres du corps.
Dans cet article, je t’emmène à la découverte de cette vision singulière et profondément cohérente de la santé humaine.
📖 Sommaire :
- Pourquoi s’intéresser aujourd’hui à l’hygiénisme ?
- Qu’est-ce que la naturopathie hygiéniste ?
- L’approche conventionnelle du symptôme, de la maladie et de la guérison
- L’approche hygiéniste du symptôme, de la maladie et de la guérison
- Un rapport fondamentalement différent au corps et à la vie
- Vers une médecine intégrative : œuvrer ensemble au service de la santé holistique
- Conclusion
Pourquoi s’intéresser aujourd’hui à l’hygiénisme ?
Face à l’augmentation des maladies chroniques, au sentiment de perte de repères dans les parcours de soin et au besoin de reprendre la main sur sa santé, une ancienne approche refait surface : l’hygiénisme.
Souvent méconnu, parfois caricaturé, ce courant invite à repenser notre rapport au corps, au symptôme, à la maladie et à ce que signifie “guérir”.
📌 Mais de quoi parle-t-on exactement ?
📌 Pourquoi ce terme revient-il aujourd’hui dans les conversations autour du bien-être holistique et d’une santé plus consciente ?
📌 Que propose-t-il concrètement face aux modèles de santé conventionnels ?
Pour le comprendre, il faut d’abord s’intéresser à ses fondements.
Qu’est-ce que la naturopathie hygiéniste ?
Définition de l’hygiénisme
La naturopathie hygiéniste est une approche de santé naturelle fondée sur le respect des lois du vivant. Elle repose sur une vision philosophique vitaliste, selon laquelle l’être humain est animé par une force vitale intelligente intrinsèque, qui tend naturellement vers l’autorégulation et la régénération.
En effet, la loi d’homéostasie, parfaitement établie d’un point de vue scientifique, stipule que :
« Tout système naturel laissé à lui-même en l’absence de perturbation, tend spontanément à revenir à son état d’équilibre par le biais de processus régulateurs.«
La loi d’homéostasie est valable pour tout système naturel : un écosystème, un être vivant, un organe ou une cellule par exemple.
Cette conception s’oppose à la vision matérialiste de la médecine conventionnelle, qui réduit souvent le corps humain à une machine composée de pièces isolées à réparer.
Scientifiquement, l’hygiénisme s’appuie sur la théorie de l’humorisme, selon laquelle la santé dépend de la qualité et de la bonne circulation des humeurs du corps (sang, lymphe, liquides intra/extracellulaires). Cette vision s’oppose à celle du solidisme, qui considère que les organes ou les cellules (solides) seuls sont principalement responsables des maladies. L’humorisme met l’accent sur le « terrain » (milieu intérieur) qu’il cherche à équilibrer et à renforcer. Il ne se focalise pas uniquement sur les symptômes.
Sur le plan technique, la naturopathie hygiéniste n’utilise pas de « remèdes ». Les plantes, l’eau ou les cataplasmes par exemple ne sont pas utilisés pour supprimer des symptômes, mais plutôt pour soutenir des fonctions ciblées du corps. L’hygiéniste se base en priorité sur la connaissance de la physiologie du corps humain, la compréhension de ses besoins fondamentaux et l’usage de leviers naturels pour restaurer la santé.
Une brève histoire de l’hygiénisme
Le courant naît aux États-Unis au début du XIXᵉ siècle, initié par des médecins dissidents comme Isaac Jennings, Sylvester Graham, Russell Trall et George H. Taylor. Il s’inspire des enseignements d’Hippocrate.
Dans les années 1920, le Dr Herbert Shelton structure et popularise le mouvement en synthétisant les connaissances scientifiques et en codifiant les pratiques dans la Natural Hygiene. Il fonde l’American Natural Hygiene Society (devenue National Health Association) pour diffuser cette philosophie.
Dans les années 1930, l’hygiénisme arrive en Europe. Il est formalisé en France par Pierre Valentin Marchesseau et André Roux, fondateurs des premiers centres et écoles de naturopathie. L’école Dargère Univers (voir mon parcours) transmet encore aujourd’hui les enseignements de P. V. Marchesseau.
L’approche conventionnelle du symptôme, de la maladie et de la guérison
Les symptômes qui mènent au diagnostic
Dans le cadre d’une consultation médicale classique, le temps est souvent compté. Les consultations s’enchaînent. Il reste peu de place pour écouter, poser des questions sur l’histoire personnelle, les événements de vie ou le contexte global. Le système de santé doit être rentable et efficace. Il faut aller vite, cibler les signes visibles, trouver une réponse.
L’attention est donc portée principalement sur les symptômes physiques :
- les signes cliniques,
- ce qu’on peut objectiver grâce à des analyses : prise de sang, examens d’urines ou de selles, imageries, biopsies, etc.
🩺 Parfois, cet ensemble de données permet de poser un diagnostic clair. Le médecin colle une étiquette sur un groupe de symptômes : il nomme une maladie.
Exemple 1 : une gorge rouge et douloureuse, avec sensation de brûlure, des ganglions sensibles, une difficulté à avaler, de la fièvre, de la fatigue, des maux de tête. Un prélèvement dans la gorge identifie une infection bactérienne. Un diagnostic d’angine peut être réalisé.
🩺 D’autres fois, on regroupe des symptômes persistants sans qu’aucune analyse ne révèle une cause précise.
Exemple 2 : douleurs diffuses dans les muscles, tendons et ligaments depuis plus de trois mois, fatigue chronique, troubles du sommeil, brouillard cérébral, inconfort digestif, anxiété. Aucun marqueur biologique ou anomalie à l’imagerie. Le diagnostic de fibromyalgie peut être réalisé. Il s’agit d’un diagnostic par exclusion puisque rien d’autre n’a été repéré.
🩺 Et parfois, malgré tous les examens, aucun diagnostic ne peut être posé.
Alors, à quoi le diagnostic sert-il ?
Le traitement : faire disparaître les symptômes avant tout
Le diagnostic va permettre de mettre un œuvre un protocole de prise en charge plus ou moins stéréotypé. Il comprend en général des remèdes (des médicaments chimiques ou des alternatives naturelles), de la chirurgie ou d’autres techniques spécifiques.
L’objectif principal de ce traitement est clair : faire disparaître les symptômes.
Quand un diagnostic n’est pas établi, le patient reste en errance médicale. Le médecin se retrouve démuni. Dans le meilleur des cas, il va pouvoir proposer des médicaments ou techniques pour soulager la douleur et les inconforts, sans réelle perspective de guérison.
Une guérison pilotée par des remèdes extérieurs
Dans cette approche conventionnelle, la guérison se résume donc à la suppression des symptômes.
🔸 Exemple 1 : j’ai une angine bactérienne. Je prends des antibiotiques. Les douleurs s’estompent, la fièvre tombe, ma gorge ne brûle plus. Mon angine est finie. Je suis guérie.
🔸 Exemple 2 : j’ai une fibromyalgie. On me propose des antidépresseurs, des antalgiques, des somnifères. Parfois, on ajoute un accompagnement psychologique ou des séances de kiné pour tenter de soulager les douleurs chroniques. C’est une maladie chronique que l’on se sait pas guérir.
Dans les deux cas, à aucun moment, on ne cherche à comprendre les causes profondes des symptômes. On ne questionne ni le mode de vie, ni le terrain, ni l’état physiologique global de la personne. Chaque symptôme est pris isolément, déconnecté de son contexte. Il ne sert qu’à établir un diagnostic, qui permet ensuite d’appliquer — ou non — un protocole de soins standardisé.
📌 Dans le cas d’une angine ?
Une mauvaise rencontre avec une bactérie. « Ce sont des choses qui arrivent. » On prescrit un antibiotique. L’affaire est classée !
📌 Dans le cas d’une fibromyalgie ?
C’est la malchance. Ou alors une prédisposition génétique. C’est une maladie dont on ne connaît pas bien les causes, pour laquelle il n’existe pas de traitement curatif. On s’efforce alors de « gérer les symptômes » au mieux. “C’est comme ça, vous allez devoir vivre avec !”.
L’approche hygiéniste du symptôme, de la maladie et de la guérison
Une vision globale qui intègre les symptômes
Le naturopathe hygiéniste prend le temps. Beaucoup de temps.
Lors de mes consultations, la séance d’investigation dure deux heures !
🔎 C’est une véritable enquête, qui demande du temps et qui implique pleinement la personne.
🌿 On y retrace l’historique de la survenue des symptômes, on cherche à comprendre leur contexte d’apparition, leur évolution, leur lien avec des événements de vie.
🌿 On évalue l’état de fonctionnement global du corps : digestion, élimination, vitalité glandulaire et nerveuse, métabolisme, etc.
🌿 On observe comment la personne s’alimente, élimine, se repose — ou pas —, bouge, gère son mental, ses émotions.
🌿 On s’intéresse aussi à la manière dont elle se positionne dans sa vie, comment elle interagit avec les autres, et à la qualité de son environnement.
C’est aussi une approche qui a un coût. Tout le monde ne peut malheureusement pas s’offrir ce type d’accompagnement.
👉 C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je publie régulièrement des contenus gratuits : pour transmettre, partager, mettre un maximum de connaissances à disposition de chacun.
Mais on ne peut pas tout faire seul. L’accompagnement hygiéniste est un métier à part entière, qui demande de l’expérience, une vision d’ensemble et la capacité d’adapter l’approche à chaque individu.
La recherche des causes des déséquilibres du terrain
Le diagnostic est la prérogative de la médecine conventionnelle.
En naturopathie hygiéniste, on ne pose aucun diagnostic. On ne cherche pas à mettre une étiquette sur ce que vit la personne. D’ailleurs, la notion même de « maladie » n’a pas la même importance.
Ce que l’on cherche, c’est à relier les symptômes entre eux. On cherche à comprendre les ressentis, à explorer les expériences pour tisser une vision globale de ce qui est vécu, de ce qui semble déséquilibré.
C’est un vrai travail d’enquête. On cherche les fils rouges, on les suit, on remonte les enchaînements de causes et d’effets. Souvent, on découvre qu’il n’y a pas une seule cause. Plusieurs facteurs imbriqués ont participé à générer les troubles pour lesquels la personne consulte. Le tableau est complexe, mouvant, évolutif.
⚠️ Alors soyons clairs :
Je ne dis pas qu’il ne faut pas se faire diagnostiquer !
✅ Un diagnostic repose sur des faits, des observations cliniques et biologiques qu’il est essentiel de considérer. Il peut fournir des repères précieux. Il peut sauver la vie.
ℹ️ Mais j’ai aussi pu constater que dans certains cas, des personnes à qui l’on avait diagnostiqué une maladie « incurable » avaient perdu toute confiance dans leur capacité à guérir.
Et c’est bien légitime !
Comment peut-on croire au potentiel de régénération de son propre corps… quand une équipe de médecins vous a assuré qu’il n’y avait aucune perspective d’amélioration, car ils n’avaient aucun traitement curatif à proposer ?
Aucun traitement conventionnel ? Ok… et s’il était possible d’aider le corps à se guérir lui-même ?
Il faut une sacrée force intérieure pour ouvrir en soi cet espace du possible, tout en gardant les pieds sur terre. C’est une posture délicate à cultiver, faite à la fois de lucidité et d’ouverture :
🔥 « Je ne sais pas si je vais guérir, mais je vais faire tout mon possible pour favoriser ma santé et mon bien-être ! » 🌱
Retrouver la santé : quand nos choix deviennent des leviers
🛠️ L’approche hygiéniste rend à la personne toute sa place et toute sa responsabilité dans son chemin de santé. Les mécanismes à l’origine des déséquilibres lui sont expliqués avec clarté. Elle comprend alors ce qui lui arrive. Les symptômes ne sont plus perçus comme le fruit du hasard ou d’un mauvais sort, mais comme les conséquences logiques — et souvent prévisibles — d’un mode de vie, de choix, d’expériences passées.
Il ne s’agit pas de culpabiliser ni de juger.
Juste de comprendre. Observer. Conscientiser.
🧭 À partir de cette base, le travail du naturopathe hygiéniste consiste à accompagner, guider, proposer des pistes pour que la personne puisse, progressivement et en douceur, inverser les causes des déséquilibres.
Bien sûr, on utilise certains outils pour soulager les symptômes.
On va aussi s’intéresser aux causes profondes, celles qui sont à l’origine du mal-être, des difficultés.
Le naturopathe hygiéniste s’appuie sur la loi d’homéostasie dont j’ai parlé plus haut. La vie fait tout pour revenir à l’ordre, à l’équilibre, à la santé. Encore faut-il lui en laisser la possibilité.
⏳ C’est un processus qui demande du temps. Il faut de l’expérience, des connaissances fines de la physiologie pour savoir dans quel ordre agir, sur quels leviers appuyer, sans brusquer le système. C’est un accompagnement sur mesure, car chaque personne est unique, avec sa propre histoire, sa propre sensibilité.
Les symptômes vont-ils disparaître ? Peut-on tout guérir ?
On ne sait pas. Rien ne peut être promis.
Mais ce qu’on peut faire, c’est créer les meilleures conditions pour que la vie reprenne ses droits, pour qu’elle répare ce qui peut l’être.
❓ C’est un chemin de remise en question. Il implique souvent de modifier ses habitudes, son alimentation, son hygiène de vie, sa manière de penser, de ressentir, d’agir.
🌈 C’est un chemin de reconnexion à soi, à la vie. Un chemin de conscience… et d’amour de soi.💎
Un rapport fondamentalement différent au corps et à la vie
Le corps qui dysfonctionne ou qui alerte
Dans l’approche conventionnelle de la santé, le corps « lâche », il « dysfonctionne », sans que l’on comprenne toujours pourquoi. C’est parfois présenté comme une question de malchance.
Dans l’approche hygiéniste, on questionne, on cherche à comprendre. Dans la majorité des cas, on parvient à démêler les enchaînements de causes qui ont conduit à l’apparition des symptômes. Ces derniers ne sont pas considérés comme des ennemis à faire taire, mais comme des voyants lumineux sur le tableau de bord de notre corps.
Les symptômes nous alertent. Ils nous indiquent que des déséquilibres sont encore présents.
💡 Loin de trahir, le corps devient un enseignant loyal, fiable et cohérent. Et lorsque les causes disparaissent, les voyants s’éteignent d’eux-mêmes. Le symptôme n’a plus lieu d’être.
L’impuissance face à l’arbitraire ou la responsabilité éclairée
💥 Dans l’approche classique de la santé, la personne traverse un parcours qu’elle subit de bout en bout : les symptômes surgissent, le diagnostic tombe, les remèdes s’imposent. Elle suit ce qui lui est prescrit, souvent sans trop comprendre. Face à l’arbitraire, elle s’en remet à l’autorité du médecin.
🍃 Dans l’approche hygiéniste, au contraire, le consultant est impliqué dès le départ. Il dispose du temps nécessaire pour exprimer ce qu’il vit, mettre des mots sur son ressenti. Il comprend les mécanismes en jeu, il peut faire des liens entre les causes et les effets. Cette compréhension devient une source de motivation : il devient capable d’agir sur son état.
Tout au long de son chemin de régénération, il observe les effets concrets de ses choix. L’évolution de ses symptômes devient un repère. Il expérimente, ajuste, affine. En modifiant son alimentation, en prenant soin de ses émonctoires, en s’accordant du repos nerveux, en activant les leviers propres à l’hygiénisme, il découvre qu’il a un véritable pouvoir d’action sur sa santé.
Vers une médecine intégrative : œuvrer ensemble au service de la santé holistique
Les atouts indiscutables de la médecine conventionnelle
La médecine conventionnelle occupe une place centrale dans notre système de santé. Elle offre en effet un certain nombre d’atouts indéniables, notamment dans les contextes d’urgence ou de pathologies aiguës.
Parmi ses forces notables, on peut citer :
- Des bases scientifiques solides (quand elles sont exemptes de conflits d’intérêts…).
- Des outils d’exploration objectifs : analyses biologiques de prélèvements, imagerie, examens cliniques standardisés.
- Des remèdes efficaces en situation d’urgence : infections aiguës, douleurs, anesthésie, complications graves.
- Des techniques chirurgicales précieuses, parfois vitales, pour réparer ou intervenir sur des structures endommagées.
- Une standardisation des diagnostics et des traitements, qui permet d’aider un grand nombre de personnes rapidement et à moindre coût.
- Un accès structuré aux soins, via un parcours de santé organisé et accessible dans la plupart des contextes.
- Une formation médicale garantissant un socle de compétence et une certaine homogénéité des pratiques.
- Un cadre juridique qui encadre la pratique médicale, la traçabilité des actes et la gestion des effets indésirables.
- Une production de données de santé utiles à l’échelle collective, via la recherche clinique et l’épidémiologie.
⚠️ Cependant, ses limites apparaissent clairement face aux maladies chroniques, qui représentent aujourd’hui une part croissante des pathologies.
Souvent centrée sur la suppression des symptômes plutôt que sur la compréhension globale du terrain, la médecine conventionnelle peut parfois peiner à offrir des solutions durables ou à prévenir la récidive.
Dans quel cas la naturopathie hygiéniste est-elle la plus pertinente
☯️ La naturopathie hygiéniste est particulièrement pertinente dans toutes les situations où l’on cherche à retrouver un équilibre global, à soutenir la régénération naturelle du corps ou dans une démarche de santé préventive.
Elle s’adresse notamment à celles et ceux qui :
- souhaitent préserver leur santé dans une démarche de prévention active tout au long de la vie, en apprenant à mieux se connaître ;
- traversent des troubles chroniques, inflammatoires ou fonctionnels souvent difficilement pris en charge par l’approche symptomatique classique ;
- présentent un terrain encrassé, surchargé (surpoids, troubles digestifs, fatigue chronique…) et souhaitent le nettoyer en douceur ;
- ressentent le besoin de retrouver plus de vitalité, d’élan de vie, de clarté mentale ;
- souhaitent renforcer leur résistance au stress, à la fatigue nerveuse et au rythme effréné de la vie moderne ;
- vivent des périodes de transition physiologique (puberté, grossesse, ménopause, vieillissement…) et veulent accompagner ces étapes naturellement ;
- ont une sensibilité accrue ou une faible tolérance aux traitements conventionnels et cherchent des alternatives douces ;
- sortent d’une maladie ou d’une opération et souhaitent favoriser la récupération, restaurer leur terrain et prévenir les rechutes ;
- aspirent à une approche plus cohérente avec leurs valeurs de simplicité, d’écologie, de respect du vivant ;
- veulent redevenir actrices de leur santé, s’engager dans un chemin de compréhension, d’autonomie et de transformation profonde.
❗️ Le naturopathe hygiéniste, comme le médecin, a ses limites. Il n’a pas réponse à tout et il ne peut pas tout !
Conclusion
L’approche hygiéniste invite à voir le symptôme non comme un ennemi à combattre, mais comme un message du corps à écouter. Elle propose un chemin de connaissance, de responsabilité et de transformation durable.
🌿 Si cette vision résonne en toi, je t’invite à découvrir mes séances de naturopathie holistique en présentiel (à Montpezat-sous-Bauzon, Ardèche) et en téléconsultation (visioconférence).
📞 Si tu ressens le besoin d’être accompagné(e), nous pouvons échanger lors d’un entretien gratuit afin de déterminer si nous sommes bien sur la même longueur d’onde et si je peux t’aider.
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